Séparer le Liban de Gaza était crucial pour stopper l'agression

Le journaliste et analyste libanais Khaled Zineddine a estimé que l'entité israélienne n'était pas prête à mettre fin à son agression contre le Liban, mais qu'elle avait été soumise à de fortes pressions de l'administration du président américain Joe Biden, qui a insisté pour parvenir à un accord de cessez-le-feu et une trêve avec le Liban.

Khaled Zineddine a expliqué, dans une déclaration à Mosaïque FM, ce mercredi 27 novembre 2024, que l'accord de trêve de soixante jours entre l'entité occupante et le Liban prépare le terrain pour mettre fin à la guerre entre les deux parties à l'avenir, à condition que le côté sioniste respecte les termes de l'accord.

Il a ajouté qu'il n'y avait aucune garantie concernant les intentions et l'engagement de l'entité sioniste à maintenir le cessez-le-feu, soulignant : « Tant que la partie américaine est l'observateur et le parrain de l'accord, en cas de violation par Israël, il n'y aura aucune conséquence de la part des observateurs. »